L’affaire a fait grand bruit dans la cité. Elle a même suscité l’indignation de plusieurs acteurs sociopolitiques. La convocation puis l’inculpation d’Abdourahamane Sanoh a provoqué l’ire de beaucoup de personnes. L’ancien coordinateur du FNDC était poursui pour participation à une réunion non déclarée. Il a été finalement jugé par le TPI de Mafanco. Le procureur avait requis 18 mois de prison assortis de sursis pour l’activiste. Mais il n’a pas été suivi par le juge qui a décidé de relaxer Abdourahmane Sanoh pour délit non constitué. Le ministre de la justice a évoqué ce sujet ce dimanche en marge d’une rencontre qu’il a eue avec des jeunes autour du thé.
” Vous avez vu le cas de Sanoh. J’ai appelé tous les procureurs, taper le poing sur la table. Qu’est ce qu’il a fait? Dites-moi, il a fait quoi? Parceque les procureurs travaillent sous l’autorité du garde des sceaux. Qu’est-ce qu’il a fait dites-moi? “Reunion non déclarée” punie. où est la légalité de la peine infligeable si y’en a pas pourquoi? Le débat est clos. C’est clair. Maintenant si c’était l’inverse.” a déclaré Alphonse Charles Wright